Ulysse Crowley
Capitole Messages : 67 Date d'inscription : 02/07/2015
| Sujet: fiche de liens facultative Dim 27 Déc - 18:10 | |
| Prénom(s) & Nom feat celebrité âge district métier situation amoureuse |
détails me concernant Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. |
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<center><div class="histoire" style="background-color:#E3DBE2; border: 2px solid #a30f26; width: 500px; text-align:center;"><div style="font-family: 'Georgia'; color: #a30f26; font-size: 40px; margin-top: 35px; margin-bottom: 0px; text-shadow: 4px 3px 4px #DEAD85;">Prénom(s) & Nom</div> <div style="text-transform: uppercase;">feat celebrité</div> <table><tr><td><div style="width: 215px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; margin: 3px; margin: 3px; padding: 2px; font-family: 'Georgia'; font-size: 10px; text-transform: uppercase;">âge</div><div style="width: 215px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; margin: 3px; padding: 2px; font-family: 'Georgia'; font-size: 10px; text-transform: uppercase;">district</div><div style="width: 215px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; margin: 3px; padding: 2px; font-family: 'Georgia'; font-size: 10px; text-transform: uppercase;">métier</div><div style="width: 215px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; margin: 3px; padding: 2px; font-family: 'Georgia'; font-size: 10px; text-transform: uppercase;">situation amoureuse</div><div style="width: 215px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; margin: 3px; padding: 2px; font-family: 'Georgia'; font-size: 10px; text-transform: uppercase;"><img src="https://media.giphy.com/media/dQoDPPfkx8oBq/giphy.gif" style="width: 215px;"></div></td> <td><div style="font-size: 25px; font-family: 'Lobster Two'; text-transform: lowercase; letter-spacing: 1px; word-spacing: 2px"><fp>détails me concernant</div></fp><div style="width: 243px; height: 234px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; padding: 5px; font-size: 13px; overflow-y: auto; text-align: justify; color: #aba89f; font-family: arial;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.</div></td></tr></table>
<div style="background: #f8f7f4; border: 2px solid #a30f26; padding: 2px; font-family: 'Oswald'; font-size: 14px; text-transform: uppercase;"> Ce que je recherche </div> <div style="font-size: 11px;"><ff style="font-size: 15px;">Intitulé du lien </ff> ➺ Description du lien <div style="font-size: 11px;"><ff style="font-size: 15px;">Intitulé du lien </ff> ➺ Description du lien <div style="font-size: 11px;"><ff style="font-size: 15px;">Intitulé du lien </ff> ➺ Description du lien
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Ulysse Crowley
Capitole Messages : 67 Date d'inscription : 02/07/2015
| Sujet: Re: fiche de liens facultative Dim 27 Déc - 20:23 | |
| Nom Prénom Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
| Nom Prénom Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
| Nom Prénom Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
| Nom Prénom Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
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<center><div style=" background-color: #a30f26; border-radius: 5px; width:500px; padding-bottom:20px; padding-top: 5px;"><div style="font-family: 'Lobster'; font-size:35px; color: white; margin-top:15px; margin-bottom:15px; padding-bottom: 3px;">Les femmes/Les hommes</div></div><table><tr><td><div class="histoire" style="width: 222px; height: 320px; text-align:center; margin: 10px; padding: 8px;"><div style="width: 199px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; padding: 2px; margin-left:8px; margin-bottom: 0px; "><img src="http://images6.fanpop.com/image/photos/35400000/Gary-Gif-gary-oldman-35418785-500-310.gif" style="width: 199px;"></div><div style="background: #f8f7f4; width: 199px; margin-left: 8px; margin-top: 3px; border: 2px solid #a30f26; padding: 2px; font-family: 'Oswald'; font-size: 14px; text-transform: uppercase; text-align:center;"> Nom Prénom </div><div style="background: #f8f7f4; width: 196px; height: 150px; margin-left: 8px; padding: 5px; overflow-y: auto; text-align: justify; color: #aba89f; font-family: arial; font-size: 11px;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. </div></div></td><td><div class="histoire" style="width: 222px; height: 320px; text-align:center; margin: 10px; padding: 8px;"><div style="width: 199px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; padding: 2px; margin-left:8px; margin-bottom: 0px; "><img src="http://images6.fanpop.com/image/photos/35400000/Gary-Gif-gary-oldman-35418785-500-310.gif" style="width: 199px;"></div><div style="background: #f8f7f4; width: 199px; margin-left: 8px; margin-top: 3px; border: 2px solid #a30f26; padding: 2px; font-family: 'Oswald'; font-size: 14px; text-transform: uppercase; text-align:center;"> Nom Prénom </div><div style="background: #f8f7f4; width: 196px; height: 150px; margin-left: 8px; padding: 5px; overflow-y: auto; text-align: justify; color: #aba89f; font-family: arial; font-size: 11px;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. </div></div></td></tr><tr><td><div class="histoire" style="width: 222px; height: 320px; text-align:center; margin: 10px; padding: 8px;"><div style="width: 199px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; padding: 2px; margin-left:8px; margin-bottom: 0px; "><img src="http://images6.fanpop.com/image/photos/35400000/Gary-Gif-gary-oldman-35418785-500-310.gif" style="width: 199px;"></div><div style="background: #f8f7f4; width: 199px; margin-left: 8px; margin-top: 3px; border: 2px solid #a30f26; padding: 2px; font-family: 'Oswald'; font-size: 14px; text-transform: uppercase; text-align:center;"> Nom Prénom </div><div style="background: #f8f7f4; width: 196px; height: 150px; margin-left: 8px; padding: 5px; overflow-y: auto; text-align: justify; color: #aba89f; font-family: arial; font-size: 11px;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. </div></div></td><td><div class="histoire" style="width: 222px; height: 320px; text-align:center; margin: 10px; padding: 8px;"><div style="width: 199px; background: #f8f7f4; border:2px solid #a30f26; padding: 2px; margin-left:8px; margin-bottom: 0px; "><img src="http://images6.fanpop.com/image/photos/35400000/Gary-Gif-gary-oldman-35418785-500-310.gif" style="width: 199px;"></div><div style="background: #f8f7f4; width: 199px; margin-left: 8px; margin-top: 3px; border: 2px solid #a30f26; padding: 2px; font-family: 'Oswald'; font-size: 14px; text-transform: uppercase; text-align:center;">Nom Prénom </div><div style="background: #f8f7f4; width: 196px; height: 150px; margin-left: 8px; padding: 5px; overflow-y: auto; text-align: justify; color: #aba89f; font-family: arial; font-size: 11px;">Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir. </div></div></td></tr></table></center>
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